Kalaw - Lac Inle à pieds !
3 jours de trek de Kalaw au Lac Inle
du 02 au 05 Decembre 2017
Arrivés à Kalaw vers 5h, nous décidons de ne pas prendre de chambre d’hôtel, les treks partant vers 8h nous avons donc décidé de partir directement pour ces de trois jours de randonné pour rejoindre le Lac Inle. Nous patientons dans un petit café, le temps que les agences ouvrent. Nous trouvons une agence, le départ est confirmé pour 8h00 et c’est partie mon kiki ! (une des phrases françaises les plus connues à l’étranger).
Nous sommes un groupe de 6 personnes avec la guide. Une anglaise, une polonaise, deux françaises (dont moi) et Vincent.
Nous commençons à marcher dans des petits chemins au milieu des forêts, puis, petit à petit montons à un point de vue où nous déjeunons. En face de notre table, une super vue sur les montagnes.
Puis nous continuons notre route, nous traversons des rizières où l'on peut apercevoir les agriculteurs récolter le riz qui a déjà été séché par le soleil.
Le riz se récolte quand les tiges sont jaune, c’est à dire sèche. Trois semaines avant la récolte, l’eau est évacuée pour permettre aux fermiers de couper les tiges, appelées des “pannicules”. Elles sont ensuite liées avec d’autres, puis séchées.
Après cela, les agriculteurs tapent les pannicules sur des tables en bois avec des troues, pour permettre aux grains de riz de tomber dans sur une bâche, afin de les récolter par la suite. Le reste de pannicule est utilisé pour nourrir le bétail. Une technique qu’on a eu le plaisir d'observer durant tout notre trek.
Puis nous continuons notre route, nous traversons des rizières où l'on peut apercevoir les agriculteurs récolter le riz qui a déjà été séché par le soleil.
Le riz se récolte quand les tiges sont jaune, c’est à dire sèche. Trois semaines avant la récolte, l’eau est évacuée pour permettre aux fermiers de couper les tiges, appelées des “pannicules”. Elles sont ensuite liées avec d’autres, puis séchées.
Après cela, les agriculteurs tapent les pannicules sur des tables en bois avec des troues, pour permettre aux grains de riz de tomber dans sur une bâche, afin de les récolter par la suite. Le reste de pannicule est utilisé pour nourrir le bétail. Une technique qu’on a eu le plaisir d'observer durant tout notre trek.
Vers 16h, nous arrivons dans un petit village avec seulement deux rues. On croise des enfants qui courent partout, des femmes entrain de cuisiner et des hommes ramenant le bétail.
On rencontre nos hôtes et visitons notre chambre commune. Elle est bien spacieuse et 5 petits matelas sont installés. J’essaye le mien, outch ! Tellement fin que j’avais la sensation de dormir à même le sol. La nuit va être dure, d’autant plus qu’il fait grand froid dans les montagnes de Birmanie !
Après une douche froide au seau, nous avons eu droit à un festin de roi !
Après le dîner, on s’installe devant le feu de camps avec les femmes du village à aider à décortiquer l’ail - enfin surtout Vincent, nous les filles, ne voulions pas avoir les mains qui sente l'ail… mais on a quand même profité du feu. Ces femmes décortiquent l'ail tous les soirs pendant 3 heures pour séparer les gousses et leur permettre de mieux finir leur croissance. Ensuite elles seront vendus sur le marché.
Après le dîner, on s’installe devant le feu de camps avec les femmes du village à aider à décortiquer l’ail - enfin surtout Vincent, nous les filles, ne voulions pas avoir les mains qui sente l'ail… mais on a quand même profité du feu. Ces femmes décortiquent l'ail tous les soirs pendant 3 heures pour séparer les gousses et leur permettre de mieux finir leur croissance. Ensuite elles seront vendus sur le marché.
Debout 6h pour départ 7h30, nous reprenons la marche avec un superbe levé de soleil ! Une brume s’étend sur tout le village, apportant une touche un peu mystique au lieu.
Pendant cette deuxième journée de trek nous remarquons que nous sommes dans un tout autre décors que la veille. C’est un paysage que nous n’avions pas vue jusque là. Des champs de sésame, de riz et de piment à porté de vue. Ce mélange de couleur est magnifique ! Vert, jaune, rouge. Le drapeau de la Birmanie en grandeur nature !
Pendant cette deuxième journée de trek nous remarquons que nous sommes dans un tout autre décors que la veille. C’est un paysage que nous n’avions pas vue jusque là. Des champs de sésame, de riz et de piment à porté de vue. Ce mélange de couleur est magnifique ! Vert, jaune, rouge. Le drapeau de la Birmanie en grandeur nature !
C’était une superbe journée, la meilleure du trek pour ma part. Toutes ces couleurs à en perdre la vue, c’était merveilleux. D'autant plus qu’à un moment nous avons suivi un chemin de fer. On était comme des enfants jouant sur les rails. C’est sympa. Le décors de la gare était juste d'un autre temps.
Bon, l’après midi a été plus long, on ressentait la fatigue sachant qu’on avait 10kg sur le dos avec Vincent. Eh oui, nous avions nos gros sacs… les petits sont acheminés à notre futur hôtel au lac Inle. Mais nous avions gardé tout notre matos multimédias. Donc bien 10kg chacun, voire plus pour Vincent !
On arrive enfin à notre guest house pour le soir. Le village est encore plus sympa que le précédant. C’était vraiment un village typique birman avec toutes ces maisons en bambous sur pilotis. Certaines étaient en parpaings (comme la nôtre) mais ça ne gâchait en rien le paysage. Il y avaient des vaches, des chiens, chats, poules qui se baladaient partout comme ça. Je me suis même fait un ami : un petit chaton. Il a dormis sur mes genoux pendant l’apéro ! Je craque à chaque fois quand je vois des pupies ou des kitties (vous me connaissez 😁 ).
Nos hôtes nous ont accueillis avec une gentillesse débordante. Le maître de maison s’est bien amusé avec Vincent en posant pour lui. Ça l’a fait sentir comme une star. On les entendait facilement rigoler à l’autre bout du village !
Le dîner servi, on est impressionné, un festin entreposé sur la table. Jamais nous n’avions aussi bien mangé en Birmanie. Tout était bon ! Surtout un curry au cacahuète avec du riz, un régale. On a même eu le droit à des frites maison 😚
Nos hôtes nous ont accueillis avec une gentillesse débordante. Le maître de maison s’est bien amusé avec Vincent en posant pour lui. Ça l’a fait sentir comme une star. On les entendait facilement rigoler à l’autre bout du village !
Le dîner servi, on est impressionné, un festin entreposé sur la table. Jamais nous n’avions aussi bien mangé en Birmanie. Tout était bon ! Surtout un curry au cacahuète avec du riz, un régale. On a même eu le droit à des frites maison 😚
Repues, nous allons nous coucher.
Après une bonne nuit, nous nous réveillons un peu triste. C’est notre dernière journée de trek, mais content car on ne va plus porter ces gros sacs lourds très longtemps !
L'ambiance matinale qui se repend sur les paysages est de nouveau exceptionnelle.
L'ambiance matinale qui se repend sur les paysages est de nouveau exceptionnelle.
Ce dernier jours de trek se résument à traverser les champs de piments, une forêt de bambou, des terrains arides avec une descente assez technique pour enfin arriver au sud du lac. Nous avons oublié de vous préciser un petit détails, souvent dans les arbres bordant le bord des chemins des dizaines de petites araignées trop mignonne ont élu domicile. Agoraphobe s'abstenir 😋😋
Je reprends après cette aparté, arrivé au lac un bateau nous attend afin de nous rendre à Nyaungshwe, la ville du Lac Inle. Enfin un bateau… une longue pirogue à moteur !
Je reprends après cette aparté, arrivé au lac un bateau nous attend afin de nous rendre à Nyaungshwe, la ville du Lac Inle. Enfin un bateau… une longue pirogue à moteur !
Nous embarquons pour une heure. Dès les premières minutes dans le bateau, Vincent et moi sommes certain que le Lac Inle va nous plaire. On tombe vraiment sous le charme de ce lac où nous croisons des villages flottants, des pêcheurs et des gens nous sourire à chaque opportunité.
Nous mettons pieds à terre et une nouvelle aventure commence...
To be continued at Inle Lake ...
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